L’expérience de M. Alain C., possesseur d’un Diamond DAC IV
J’ai comme beaucoup d’autres personnes été berné en 1980 par l’apparition du numérique.
L’effet marketing était tel que mon attention portait beaucoup plus sur un son nouveau plutôt que sur la musicalité.
Mettant trop rapidement délesté de mes précieux disques noirs, j’écoutais sans grand plaisir des appareils que je considéraient chaque fois comme n’étant pas au niveau.
J’ai acheté successivement le wadia 32 puis le wadia 64 french curve puis le wadia 2000 et enfin le wadia 9 avec le gros wadia 7 comme transport.
Le son était toujours aussi odieux à mes oreilles : platitude, timbres faux, pas de vie ect…C’est seulement après être allé vers les produits les plus sophistiqué que j’ai admis que je m’étais trompé de voie.
Pourtant les panneaux quad et la simple platine denon de mon père que j’écoutais à l’occasion chez lui aurait du me faire comprendre les choses plutôt.
J’ai gardé mon wadia 9 et ai racheté du vynile avec successivement la platine rega 3 puis ai cumulé une splendide microseki en bronze avec le bras fidelity research et une platine oracle. Je dois dire que la platine oracle marchait mieux que la microseki pourtant beaucoup plus jolie…cellules denon 304/305.
Je suis vraiment passé à un stade supérieur avec une vpi tnt et bras triplanar et cellule Benz ruby 2 puis Benz Ebony.
Puis j’ai fait le grand saut avec deux platines extraordinaires que sont la simon yorke double bras et la kuzma 4xl avec double bras (tengenciel air comprimé et bras 4 points avec cellules koetsu onyx, Zyx.
Le wadia en comparaison était inécoutable malgré une amélioration apportée par le reformatage par un meridian 518 boosté par DB-system (transfo lundale ect…).
Imaginez vous que mon système numérique était compose de 7 éléments ! Transport wadia 7 et son alim + wadia 9et son alim + digilink et son alim + meridian 518 ouf !!! et se situait malgré tout dans le haut du pavé pendant longtemps…
– découverte du power dac de msb avec son alimentation à batterie : j’étais loin de mon système analogique mais cela commençait à faire de la musique,
– passage au dac III toujours un net avantage à l’analogique, mais je passais déjà plus de temps à écouter des cd ce qui est un signe…
– upgrade du MSB avec le filtre X32 : là encore une vrai amélioration et du plaisir naissant à écouter les cd,
– upgrade avec 384 k et convertisseur signature : amélioration spectaculaire certainement déjà le meilleur DAC sur le marché,
– récemment acquisition de l’alimentation Diamond du DAC IV branchée sur le DAC III signature : alors là le numérique est à la hauteur de l’analogique avec tous les avantages de manipulation et convivialité,
– puis acquisition du DAC DIAMOND IV : une sorte d’idéal…
Conclusion : les produits MSB sont à l’antipode du marketing car doubler le prix d’acquisition à chaque upgrade en gardant la même carcasse cela n’est pas très vendeur ; mais le doublement des prix est amplement justifié et s’est la première fois que les upgrade d’un constructeur apportent une amélioration sensible de la musicalité. Il y a une véritable synergie dans les différents composants du produit qui doit être à l’origine d’un tel résultat.
Le savoir faire de MSB est hors normes, je dois par ailleurs remercier Stefan Blanc l’importateur dont j’ai toujours à postériori partagé les analyses (et je crois vraiment avoir de l’oreille).
Désormais je m’appuis en toute confiance sur ses ressentis pour améliorer mon écoute.
L’avis de M. Philippe A.C., possesseur d’un Diamond DAC IV
En l’espace de 8 jours 3 concerts dans des lieux différents (places de première catégorie): Strauss/Shostakovich (Muti/CSO/Pleyel), « Salome » (Bastille) et « La clémence de Titus » (Garnier) et toujours la même constat: à la suite de chaque concert je réécoute un mouvement ou une partie d’œuvre donnés le soir même et, depuis l’introduction des électroniques MSB (Data CD / UMT / Diamond DAC IV avec étage de volume), je ne ressens plus aucune frustration tant le naturel, la fluidité et la dynamique sont au rendez-vous et me rapprochent du « live ».
Pas de son adouci (euphonique) mais des timbres justes avec la rutilance des cuivres, les harmoniques des voix, le grave impressionnant des contrebasses et autres grosses caisses.
Soyeux des cordes quand elles jouent à l’unisson mais métal des notes aigues d’un violon solo.
Douceur des bois et flûtes parfois « perçantes », tout est contraste comme au concert.
Aération, largeur et profondeur de la scène sonore sont également « bluffants ».
La suppression du préamplificateur (dans mon cas un des plus réputés pour sa musicalité) permet de retrouver encore plus de naturel et de « transparence », terme audiophile que je déteste en général, et surtout une dynamique vraie, libre, sans « son poussé », mais avec toute la palette de nuances des instruments acoustiques.
Un exemple particulier : la voix de Birgit Nilsson (Isolde/Bayreuth/Böhm, Elektra/WPO/Solti, Brünnhilde/Bayreuth/Böhm, Turandot/Molinari/Pradelli etc…), si souvent dure, tranchante sur la plupart des électroniques, digitales ou analogiques (les critiques qui ne l’ont pas entendue en direct parlent d’acier suédois…) passe avec toute la splendeur et la richesse harmonique d’un aigu à nul autre pareil sur le système MSB ; c’est pour moi le plus grand compliment que je puisse leur adresser.
Tout y est grâce aussi aux panneaux Sound Lab et au casque Stax SR-009 (selon l’heure…).
En conclusion, avec les électroniques MSB, je ne me pose plus de question et peux m’immerger dans la musique avec une concentration comparable à celle obtenue dans une salle de concert : quel meilleur compliment ?
Que tous les sceptiques du « digital » écoutent ces électroniques, je parie qu’ils changeront d’avis sur les défauts supposés du digital.
L’avis de M. Andreas R., possesseur d’un Platinium DAC IV
Ce ne sera qu’après une installation tardive (en attente d’autres composants) que depuis maintenant quelques jours je savoure le son délivré par le système.
Ayant l’oreille musicale, j’étais à la recherche du “vrai” son , le son “live” le plus réaliste possible.
Ma quête vers cet idéal sonore se concrétise aujourd’hui par un ensemble de maillons délivrant en symbiose un très bel équilibre.
L’association de l’ensemble transport, convertisseur et alimentation MSB Platinium DAC IV ainsi que des maillons analogiques de chez PARASOUND HALO serie (JC1, JC2), soutenus par les magistrales enceintes CANTON Reference 1.2DC me procurent à chaque écoute le grand frisson !!!
Pour faire maintenant un zoom sur les composants de chez MSB, le trait de caractère principal se traduisant par de la neutralité, de la dynamique (et surtout micro-dynamique), une image sonore plus profonde, plus large pour finalement saupoudrer subtilement cette touche de réalisme tant convoitée.
Mon expérience jusqu’alors ma souvent démontré la supériorité du vinyle par rapport au CD, en termes de naturel, de fluidité sans crispation…et voila que je retrouve toutes les qualités sonores du vinyle réunies dans la restitution musicale de cet ensemble MSB sans les inconvénients de celui-ci.
L’avis de M. Pascal H., possesseur d’un Diamond DAC IV
Tout a commencé par l’acquisition en décembre 2010 d’une platine vinyle Oracle Delphi Mk VI (la première en France importée par Audio-Focus), qui est venue remplacer sa vénérable aïeule la Delphi Mk I. Possédant aussi un transport Oracle CD 2000, la discussion a vite tourné sur la conversion D/A avec ce qu’il fallait mettre derrière la CD 2000 pour approcher la qualité du vinyle. Quatre mois plus tard, un WE inoubliable chez Nautile-Acoustique à Villaz près d’Annecy, passé a écouter les enceintes à haut rendement trois voies Nautile-Acoustique HR-D15 pilotées par des amplis Bel Canto (une sacrée découverte et une écoute bouleversante de beauté) alimenté par un CD Data IV et un test de quinze jours en mai de la version Standard du DAC MSB Platinium à domicile a vite fait de balayer toute mes anciennes certitudes. La décision est prise de modifier le système HIFI en profondeur : commencer par retirer mon ancien DAC Audio Aero après 8 ans de bons et loyaux services et surtout revendre vite mon préampli a tubes ARC Reference5 (pourtant pas le dernier des pré a tubes, loin s’en faut, fraîchement acquis neuf mois auparavant) pour prendre un DAC MSB Diamond avec sortie variable. Ci-fait, le DAC MSB Diamond est arrivé début juillet. C’est un convertisseur préampli absolument EXCEPTIONNEL. Le préampli phono entre en XLR, le tuner en coaxial, le CD en AES/EBU, en attendant peut être d’acquérir un jour le transport/steamer MSB UMT sur liaison ethernet MSB network pour lire des SACD.
En voulant mettre une plage d’un disque je me suis surpris a écouter tout le CD, et depuis, les CD défilent en entier. Le verdict ultime est venu de mon épouse en écoutant le Giulio Cesare de Haendel : “c’est bien meilleur qu’avant, c’est tout simplement beau”.
Que n’ai je découvert MSB plus tôt ! Bravo a Larry Gullman et à aux ingénieurs de MSB pour avoir créé une telle machine de course qui bat a plat de couture tout ce que j’ai pu tester ou écouter comme convertisseur / préampli auparavant.
Mais le summum, nirvana, paradis, je ne trouve plus de mots, a été atteint quand les enceintes deux voies Nautile Acoustique HR-C8 (le plus petit modèle) sont venues chanter ce que le MSB Diamond exprime, bi-amplifiées par deux Bel Canto REF 500S.
La Flutte Enchantée de Mozart par René Jacobs est en direct devant moi.
Si on compare a de l’image, je suis passé d’un coup a de la Super Haute Définition. Les mots qui me viennent : Relief, Profondeur 3D, Précision, Justesse absolue, Harmonie, Analogique, Musical, Présence Tridimensionnelle des musiciens. On entend les moindres mouvements des chanteurs se déplacer autour des micros, donc une impression de les voir.
Je ne vois plus comment obtenir mieux. L’association Oracle, Bel Canto, Nautile-Acoustique avec le DAC MSB Diamond est simplement Inoubliable !
L’avis de M. Georges C., possesseur d’un DAC III upgradé en signature puis avec le sur-échantillonneur récemment
En 2005,je vivais en compagnie de mon lecteur TEAC P-30 associé à un convertisseur AUDIOMAT- MAESTRO quand j’ai découvert sur le site ELITE DIFFUSION qu’un essai d’appareils MSB(marque inconnue de moi) était possible.Ma fréquentation des salles me faisait penser que la dynamique de mon matériel laissait à désirer.Pourquoi donc ne pas essayer?Sans aucun a priori-mon absolue ignorance des technologies inhérentes à ces machines le garantissant-j’ai branché un CD III PLATINUM.Alors m’a sauté aux oreilles une 3è symphonie de Malher par Horenstein renouvelée.Du relief et des couleurs!La douceur du cor anglais demeurait,enrichie de nuances,avant que la tonicité des cuivres et les impacts des timbales ne bouleversent l’appartement.Impensable de rendre l’objet…
En 2008,toujours en promenade sur le même site,je vis que l’on pouvait améliorer le convertisseur en remplaçant les “DAC” par d’autres nommés “signature”.Ce fut une forte surprise de revoir le même appareil pourtant devenu tout autre.Car c’était comme si j’avais changé de matériel :une discothèque entière à revisiter ! Les quatuors de Beethoven par les Talich avaient pris une vie et une présence insoupçonnées.La différenciation des quatre voix marquait par sa netteté et sa subtilité,les hauteurs et les vibrations des différentes cordes parvenaient aisément à l’oreille,véhiculant des détails jusque là quelque peu masqués.La modularité prévue par MSB démontrait son excellence de manière patente.Impossible de revenir en arrière.
Quelques mois plus tard fut proposé un filtre “32 bits”.Sans savoir de quoi il retournait,mais appâté par l’expérience précédente,je me portai volontaire.Un mieux sensible fut au rendez-vous,et cette fois,portant essentiellement sur le naturel et la douceur de le restitution musicale :La fluidité des Nocturnes de Chopin par Arrau y gagna encore en sérénité et profondeur,probablement grâce à une meilleure qualité de silence de fonctionnement et à un allongement de l’extinction de notes.
Enfin,au printemps 2010,l’on changea “une carte d’upsampling”.Nouveau mystère pour un non-initié… A cette occasion,j’ai failli me mettre à croire à la magie.Effet absolument inouï !Une vraie métamorphose.Et pour ainsi dire1500 CD neufs à prix d’ami…Le couronnement de tous les progrès accomplis autorisant une approche troublante des réalités du concert.Quand j’écoute Didon et Enée,je me revois dans le Sheldonian theater d’Oxford où le King’s Consort donnait la version de concert de l’opéra de Purcell.C’est assez dire quelle densité ont prises maintenant les voix instrumentales et humaines.
Tels se présentent donc les résultats de cette sorte de compagnonnage avec un appareil si différent de celui de 2005,et pourtant le même.Grâce à la conception évolutive de MSB,l’on peut profiter des progrès des techniques sans tout remettre en question,sans autre difficulté que d’échanger en un instant un module ancien par un plus efficace.Outre les qualités HiFi intrinsèques des produits MSB,c’est une raison bien forte de fidélité.
Expérience Mr A. Thierry avec MSB DAC 5 Diamond
J’ai 59 ans çela fait 20 ans que j écoute des systèmes hi fi. Mon système se compose d’amplis et preamplis Viola associés a des Martin Logans summit x, le tout câblé en Siltech argent et or et depuis 1 an j’ai acheté le DAC 5 MSB.
Avant je possédais un Wadia 9 puis Wadia 931/922 très content du son jusqu’a l’écoute du DAC 5 de MSB connecté sur mon drive CEC Tl0x alors la, grosse claque sonore. comment analyser par rapport au Wadia qui semblait numérique en comparaison. Un son très analogique avec une scène sonore très réaliste foisonnant de micro informations donnant une musicalité diabolique. C’est simple il est impossible de rester immobile que l’on écoute du blues, du jazz, du classique ou de la musique du monde
Un conseil si vous achetez ce DAC n’hésitez pas à upgrader vers l’horloge Femto 33 si vous voulez rentrer au cœur de la musique et de l’émotion sensorielle.
Si vous essayer ce DAC MSB chez vous vous aurez du mal à le renvoyer
Coup de chapeau a l’importateur MSB Mr Stefan blanc pour sa gentillesse ses compétences techniques et ses conseils éloignés du marketing et merci à mon revendeur pour le temps passé.
La musique est un art majeur